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La CGE fête ses 50 ans

Le 16 mai 1973, les statuts de la Conférence des grandes écoles (CGE) étaient officiellement déposés en préfecture, par 12 écoles fondatrices rejointes au fil des années par plus de 200 autres, dont l'ESIGELEC, en 1989.

En cette année 2023 qui acte le cinquantenaire de la CGE, la date du 16 mai devait donc revêtir une attention particulière après les célébrations du Congrès-Anniversaire des 13 et 14 mars et en attendant les Assises des 50 ans à l’automne prochain.

Le Commissaire des 50 ans, le Bureau et l’équipe de la CGE ont souhaité associer plus directement les écoles membres à ces festivités. A cette occasion, un petit déjeuner était offert au Volta pour les étudiants et salariés. L'occasion de présenter ou représenter cette organisation, son rôle et l’engagement de l’école au sein de la CGE.

Tout au long de l’année, des conférences, actions seront menées et pour lesquelles l’ESIGELEC prendra part.

Par ailleurs, l'ESIGELEC figure parmi la vingtaine de Grandes Ecoles dont la proposition d'engagement pour l'avenir a été mise en avant par la CGE : Site 50ans CGE (onglet journée anniversaire / Journée anniversaire Engagements)

Nous vous invitons dès maintenant à ajouter le logo ci-dessous dans votre signature électronique :

La CGE en bref

Les missions de la Conférence des Grandes Ecoles :
la CGE c'est la voix de 238 Grandes écoles françaises, un cercle de réflexion et d'actions, un gage de qualité et un organisme d'acréditation.

La Conférence des grandes écoles est un cercle de réflexion (think tank), qui valorise l’expertise collective de ses membres et le rôle des Grandes écoles dans le paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche. La CGE participe activement aux réflexions concernant l’enseignement supérieur.
La CGE produit des synthèses, études et enquêtes qui font référence au plan national : enquête annuelle sur l’Insertion des jeunes diplômés, Baromètre de l’ouverture sociale, ouverture internationale des Grandes écoles, livre blanc sur l’entrepreneuriat, la pédagogie, la taxe d’apprentissage, fundraising …
La CGE assure un rôle de représentation de ses membres auprès des pouvoirs publics, des acteurs de l’économie et de la société. Elle prend position publiquement sur les sujets liés à l’enseignement supérieur et à la recherche et promeut les intérêts et l’image des écoles, sur les plans national et international.
La CGE est un organisme accréditeur de formations (Mastère Spécialisé, MSc, BADGE, CQC) pour ses membres. Elle s’assure du respect de ses principes fondamentaux (excellence, insertion professionnelle, ouverture internationale, accréditation des formations…) et garantit la qualité des programmes. Les 238 Grandes écoles* membres de la CGE dispensent près de 600 formations accréditées et permettent à la France de proposer une offre de formation et de recherche à déclinaisons multiples en adéquation avec le marché du travail.

Les commissions de la Conférence des Grandes Ecoles :
Pour mener ses actions, réaliser ses enquêtes et développer ses travaux, la CGE dispose de 10 commissions et 44 groupes de travail.

Chaque commission est présidée par un directeur ou une directrice. Elles se démultiplient en groupes de travail animés par un directeur ou un représentant d’une école très impliquée dans le domaine considéré. Les écoles membres s’engagent à participer à un ou plusieurs GT et commissions.
La marque Conférence des Grandes écoles est un label déposé à l’INPI. Il est synonyme de qualité pour le grand public, les institutionnels, les entreprises, les partenaires.
Le grand public a en particulier de plus en plus de mal à discerner, au sein d’un salon par exemple, quelles sont les meilleures écoles. Le label CGE est un moyen de se différencier.
La CGE entretient un système de base de données concernant ses membres, les formations qu’ils délivrent, leurs étudiants. Ces informations font l’objet d’une déclaration à la CNIL et ne peuvent en aucun cas être diffusées à l’extérieur de la CGE autrement qu’à des fins de statistique globale, anonymisées. Elles ne doivent permettre de faire aucun classement ou aucune comparaison entre les établissements membres. Aucune des informations disponibles ne peut être cédée à titre gratuit ou onéreux à un tiers. La CGE revendique cependant une fonction d’observatoire pour l’enseignement supérieur dont les données individuelles de ses membres en sont la base.
Elle peut ainsi fournir à ses membres et aux organismes officiels demandeurs des données consolidées à des fins d’études.

Les enquêtes systématiques sont :
- Enquête annuelle « Effectifs inscrits et flux de diplômés »
- Déclaration annuelle « Déclaration nominative des étudiants inscrits aux formations accréditées par la CGE »
- Enquête annuelle « Insertion des jeunes diplômés » -Enquête biennale « Mobilité internationale ».

La CGE est signataire de plusieurs chartes et protocoles dans l’intérêt et au nom de ses membres :
- Charte pour l’égalité Femmes – Hommes du 28 janvier 2013 (CPU, CGE, CDEFI, MESR et Ministère des Droits des femmes),
- Charte pour le Handicap de 2008 (Ministère de l’ESR, Ministère du travail, secrétaire d’Etat chargé des solidarités),
- Protocole pour une démocratisation exigeante et ambitieuse de l’accès à l’enseignement supérieur du 21 mars
2017 (MENESR, CPU, CGE, CDEFI),
- Convention CNIL du 13 décembre 2011 (CNIL, CGE)

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