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Le spatial suscite des vocations : retrouvez deux portraits

>>> Matthieu Pluvinage : aspirant astronaute

Nous avons pu retrouver dans la presse au mois de Juin le portrait de Matthieu Pluvinage. Cet ancien diplômé, aujourd'hui enseignant de l’ESIGELEC aspire à devenir astronaute.
La relève de Thomas Pesquet ?

À 38 ans, il rêve de devenir astronaute et va postuler à l'Agence spatiale européenne.

Mini fusée et télescope artisanal installés sur son bureau, posters de planètes décorant les murs, Matthieu Pluvinage a déjà la tête tournée vers les étoiles.

Avant de devenir enseignant dans son ancienne école, il fait ses armes jusqu’en 2017 dans le secteur industriel. « J’ai notamment travaillé à SKF à Vernon. C’est ici que sont conçus les moteurs de la fusée Ariane », souligne-t-il.

À 38 ans, c’est maintenant ou jamais pour moi ! Même si ça ne donne rien, je n’aurai aucun regret !

« Cela fait deux ans que j’attends que tombe une offre de l’ESA [Agence spatiale européenne, ndlr] », confie-t-il. Son souhait est finalement exhaussé. L’ESA a ouvert une campagne de recrutement du 31 mars au 18 juin 2021. Lettre de motivation, CV et test médical seront consciencieusement épluchés par les recruteurs.

« Il faut que je peaufine encore ma lettre de motivation, mais sinon, je suis prêt », note-t-il, enthousiaste. Ensuite, comme pour une simple candidature en ligne, il ne lui restera qu’à cliquer sur le bouton « apply » et compter sur sa bonne étoile.

Il le sait pertinemment, une session de recrutement pour devenir astronaute à l’ESA est une denrée rare. La dernière remonte à 2008, de laquelle est sorti un certain… Thomas Pesquet. « C’est sûr que pour moi, c’est une source d’inspiration », assure Matthieu Pluvinage.

« Je pense que j’ai une bonne expérience professionnelle, avec une vision globale. Un astronaute, c’est un plombier, un mécanicien, un électricien. Il doit savoir tout faire, et je pense me débrouiller dans ces domaines. » Et d’ajouter : « Par exemple, j’ai une bonne compréhension des systèmes électriques de par ma formation. »

Retrouvez l'article complet sur Actu.fr ici

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>>> Mélanie Barillère - étudiante de l’ESIGELEC, elle intègre l’Agence Spatiale Européenne

Mélanie Barillère, étudiante en 3è année à l’ESIGELEC, originaire de Bernay (Eure), intégrera en octobre prochain l’Agence Spatiale Européenne (ESA) dans le cadre du programme Young Graduate.

C’est à Noordwijk, aux Pays-Bas, au sein du Centre européen de technologie spatiale, là où sont conçus la plupart des véhicules spatiaux de l’ESA et ses activités de développement, que Mélanie Barillère entamera sa carrière professionnelle. La jeune étudiante âgée de 23 ans, issue de l’ESIGELEC a su intéresser et convaincre les responsables de l’agence spatiale lors de deux entretiens effectués au téléphone, entièrement en anglais.

Quand elle prendra son poste aux Pays-Bas, à l’issue de sa formation d’ingénieure et après une rapide phase d’immersion, Mélanie sera affectée au département « Business Software Engeneering ». « Je serai en charge de la présentation de l’ensemble des données sous forme de tableau de bord, pour les rendre explicites et utilisables par les équipes. Je suis également mobilisée sur l’intelligence artificielle, sur des algorithmes de recherche, l’analyse des étapes d’un processus, pour le suivi des satellites ». Si tout se passe bien, Mélanie pourra poursuivre l’expérience pendant une autre année. Par la suite, elle espère pouvoir continuer à travailler dans le spatial et l’informatique.

Lire la suite de l'article : RDV sur ESIGELEC.fr

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